Le vSRRP est tristement célèbre pour son impact mondial sur l’industrie porcine. Puisqu’il n’existe aucun traitement efficace commercialement disponible, cette étude évalue le potentiel antiviral de quatres drogues dérivées de composés que nous avons prouvé capable d’inhiber le vSRRP. Deux de ces drogues, développées pour traiter le VIH, ont démontré une réduction significative de la réplication virale in vitro.
Présentatatrice : Marie-Jeanne Pesant, Faculté de médecine vétérinaire, Université de Montréal, marie-jeanne.pesant@umontreal.ca
Superviseur : Carl A Gagnon, 3200 rue Sicotte (bureau 3963), carl.a.gagnon@umontreal.ca
Auteurs, coauteurs : Pesant, Marie-Jeanne1,3, Provost, Chantale2, Salmin, Abdulrahman Fuad, M. Jacques3, F. Beaudry1, C.A. Gagnon1,2,3
1Centre de recherche en infectiologie porcine et avicole [CRIPA-FRQ], Faculté de médecine vétérinaire, Université de Montréal, Québec, Canada, 2Laboratoirede diagnoctique moléculaire, Centre de diagnostic vétérinaire de l’Université de Montréal, Québec, Canada, 3Groupe recherche sur les maladies infectieuses en production animale [GREMIP], Faculté de médecine vétérinaire, Université de Montréal, Québec, Canada
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